Pour ma part j’utilise l’histogramme principalement dans deux cas.
Le premier cas est lors de la prise de vue sur l’écran de mon APN réflex.
Je ne regarde pas l’image qui est souvent trompeuse, mais, lecture de l’histogramme est pleines d’indications, elle me permet de régler mon appareil avec plus d’efficacité et de rapidité.
Donc pour ce premier cas, un gain appréciable temps et d’efficacité sur la prise de vue photographique.
Dans un deuxième temps, je consulte l’histogramme sous PS pour avoir une lecture rapide de mon image et connaître ces points faibles ces points forts. Il m’arrive, de moins en moins souvent c’est vrai (RAW est mon ami), de pratiquer une première correction pour voir la réaction de l’image par rapport à la modification de l’histogramme (peigne accentué ou très morcelé, saturation dans une zone, blancs cramés ou noirs bouchés, etc.). Cette fausse correction et la lecture de l’histogramme m’aident à comprendre mon image avec une lecture neutre de tous éléments photographiques qui pourraient me distraire. Cette près-correction me permet ensuite de choisir une stratégie sur le choix de la technique que je vais choisir pour corriger mon image.
Une pertinence impartiale accrue dans la lecture, l’analyse et la manière d’aborder l’image dans ce deuxième cas.